« Maman était venue nous chercher, ma sœur et moi, à l’école. Nous avions fait les 500 mètres nous séparant de la maison à pied. Nous étions un mardi après-midi. J’avais 5 ans et demi. Papa était à la maison. Quand je suis rentré, je suis allé directement lui dire bonjour. Mais quelque chose était différent de d’habitude. La télé était allumée ! Chose rare, sinon inédite chez moi. Je me suis assis dans un des fauteuils et j’ai regardé le téléviseur et j’ai vu une image qui reste, aujourd’hui encore, gravée dans ma mémoire. Une grande, très grande tour laissait s’échapper une épaisse fumée noire. Je ne me souviens que de peu de choses de cette journée historique. Pourtant, mon premier souvenir télévisuel est celui des attentats du World Trade Center, le 11 septembre 2001. L’image de moi regardant, avec mon père, la télévision et cette tour fumante reste forte. »
A la suite d’une attaque terroriste, les images tournent en boucle dans les médias. Minute après minute, les journalistes décryptent les événements. Au point de faire de la publicité aux terroristes ? Comment traiter le terrorisme à l’heure de l’information en direct ? Comment assurer le juste équilibre entre droit à l’information et publicité gratuite du terrorisme ? Les médias accordent-ils trop d’importance au terrorisme ? Faut-il repenser la couverture médiatique des actes terroristes ? Si oui, comment faire ?
Quand un attentat se produit, les médias et les journalistes sont les premiers à raconter et expliquer les événements à la population. Dans un moment de grande tension, réussissent-ils à trouver le délicat équilibre entre droit à l’information et publicité offerte aux terroristes ?
Depuis 2014, Daech a envahi l’espace médiatique. Des vidéos choquantes aux images angéliques, analyse d’une stratégie médiatique qui a propulsé le groupe terroriste sur le devant de la scène.
Quelles pistes peuvent être explorées pour concilier droit à l’information avec le respect de la dignité humaine, ou avec le secret de l’instruction ? Tout cela sans rentrer dans le jeu des terroristes qui veulent bénéficier de publicité ou menacer nos valeurs démocratiques.
« Maman était venue nous chercher, ma sœur et moi, à l’école. Nous avions fait les 500 mètres nous séparant de la maison à pied. Nous étions un mardi après-midi. J’avais 5 ans et demi. Papa était à la maison. Quand je suis rentré, je suis allé directement lui dire bonjour. Mais quelque chose était différent de d’habitude. La télé était allumée ! Chose rare, sinon inédite chez moi. Je me suis assis dans un des fauteuils et j’ai regardé le téléviseur et j’ai vu une image qui reste, aujourd’hui encore, gravée dans ma mémoire. Une grande, très grande tour laissait s’échapper une épaisse fumée noire. Je ne me souviens que de peu de choses de cette journée historique. Pourtant, mon premier souvenir télévisuel est celui des attentats du World Trade Center, le 11 septembre 2001. L’image de moi regardant, avec mon père, la télévision et cette tour fumante reste forte. »
A la suite d’une attaque terroriste, les images tournent en boucle dans les médias. Minute après minute, les journalistes décryptent les événements. Au point de faire de la publicité aux terroristes ? Comment traiter le terrorisme à l’heure de l’information en direct ? Comment assurer le juste équilibre entre droit à l’information et publicité gratuite du terrorisme ? Les médias accordent-ils trop d’importance au terrorisme ? Faut-il repenser la couverture médiatique des actes terroristes ? Si oui, comment faire ?
Quand un attentat se produit, les médias et les journalistes sont les premiers à raconter et expliquer les événements à la population. Dans un moment de grande tension, réussissent-ils à trouver le délicat équilibre entre droit à l’information et publicité offerte aux terroristes ?
Depuis 2014, Daech a envahi l’espace médiatique. Des vidéos choquantes aux images angéliques, analyse d’une stratégie médiatique qui a propulsé le groupe terroriste sur le devant de la scène.
Quelles pistes peuvent être explorées pour concilier droit à l’information avec le respect de la dignité humaine, ou avec le secret de l’instruction ? Tout cela sans rentrer dans le jeu des terroristes qui veulent bénéficier de publicité ou menacer nos valeurs démocratiques.
« Maman était venue nous chercher, ma sœur et moi, à l’école. Nous avions fait les 500 mètres nous séparant de la maison à pied. Nous étions un mardi après-midi. J’avais 5 ans et demi. Papa était à la maison. Quand je suis rentré, je suis allé directement lui dire bonjour. Mais quelque chose était différent de d’habitude. La télé était allumée ! Chose rare, sinon inédite chez moi. Je me suis assis dans un des fauteuils et j’ai regardé le téléviseur et j’ai vu une image qui reste, aujourd’hui encore, gravée dans ma mémoire. Une grande, très grande tour laissait s’échapper une épaisse fumée noire. Je ne me souviens que de peu de choses de cette journée historique. Pourtant, mon premier souvenir télévisuel est celui des attentats du World Trade Center, le 11 septembre 2001. L’image de moi regardant, avec mon père, la télévision et cette tour fumante reste forte. »
A la suite d’une attaque terroriste, les images tournent en boucle dans les médias. Minute après minute, les journalistes décryptent les événements. Au point de faire de la publicité aux terroristes ? Comment traiter le terrorisme à l’heure de l’information en direct ? Comment assurer le juste équilibre entre droit à l’information et publicité gratuite du terrorisme ? Les médias accordent-ils trop d’importance au terrorisme ? Faut-il repenser la couverture médiatique des actes terroristes ? Si oui, comment faire ?
Quand un attentat se produit, les médias et les journalistes sont les premiers à raconter et expliquer les événements à la population. Dans un moment de grande tension, réussissent-ils à trouver le délicat équilibre entre droit à l’information et publicité offerte aux terroristes ?
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Quelles pistes peuvent être explorées pour concilier droit à l’information avec le respect de la dignité humaine, ou avec le secret de l’instruction ? Tout cela sans rentrer dans le jeu des terroristes qui veulent bénéficier de publicité ou menacer nos valeurs démocratiques.
« Maman était venue nous chercher, ma sœur et moi, à l’école. Nous avions fait les 500 mètres nous séparant de la maison à pied. Nous étions un mardi après-midi. J’avais 5 ans et demi. Papa était à la maison. Quand je suis rentré, je suis allé directement lui dire bonjour. Mais quelque chose était différent de d’habitude. La télé était allumée ! Chose rare, sinon inédite chez moi. Je me suis assis dans un des fauteuils et j’ai regardé le téléviseur et j’ai vu une image qui reste, aujourd’hui encore, gravée dans ma mémoire. Une grande, très grande tour laissait s’échapper une épaisse fumée noire. Je ne me souviens que de peu de choses de cette journée historique. Pourtant, mon premier souvenir télévisuel est celui des attentats du World Trade Center, le 11 septembre 2001. L’image de moi regardant, avec mon père, la télévision et cette tour fumante reste forte. »
A la suite d’une attaque terroriste, les images tournent en boucle dans les médias. Minute après minute, les journalistes décryptent les événements. Au point de faire de la publicité aux terroristes ? Comment traiter le terrorisme à l’heure de l’information en direct ? Comment assurer le juste équilibre entre droit à l’information et publicité gratuite du terrorisme ? Les médias accordent-ils trop d’importance au terrorisme ? Faut-il repenser la couverture médiatique des actes terroristes ? Si oui, comment faire ?
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