Avec 1 950 caméras de vidéosurveillance, soit 27 appareils au kilomètre carré, la première police municipale de France en matière d’effectifs, Nice est une des villes la plus surveillée de l’Hexagone. Le maire républicain, Christian Estrosi, a fait de la sécurité un de ses chevaux de bataille : “chacun d’entre nous doit devenir un citoyen engagé, acteur de sa propre sécurité, et donc de la sécurité collective.” Dans cette optique, qu’en janvier 2018, il avait accepté que Nice soit le cobaye français d’une nouvelle technologie : l’application “Reporty.” Cet outil permet à ses utilisateurs de “signaler à la police municipale une incivilité grave, ou une situation critique dont ils seraient témoins ou victimes, en transmettant une vidéo en direct, au centre de supervision urbain.” Les autorités peuvent ensuite, via un système de géolocalisation, cibler les caméras sur la zone et envoyer une patrouille. Pendant deux mois, 2000 citoyens devaient donc tester l’application mobile dans les rues niçoises.
L’arrivée de ce nouvel outil n’a pas fait l’unanimité. L’opposition municipale a notamment parlé de “délation généralisée” et certaines associations ont dénoncé l’application qui, selon eux, contiendrait des mouchards.
Le 15 mars 2018, la CNIL (Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés) a examiné l’application mobile. Elle a estimé que “l’équilibre entre la lutte contre le terrorisme, et plus largement la prévention des troubles à l’ordre public, et l’atteinte à la vie privée n’était pas respecté.” Elle a avancé deux raisons. “D’une part, compte tenu de la fragilité de la base légale du dispositif en l’état du droit. D’autre part, parce que, par ses caractéristiques propres, le dispositif envisagé n’apparaissait pas suffisamment proportionné.” La ville a donc dû mettre un terme à ce projet. Christian Estrosi, quant à lui, a dénoncé “une position dogmatique.”
Avec 1 950 caméras de vidéosurveillance, soit 27 appareils au kilomètre carré, la première police municipale de France en matière d’effectifs, Nice est une des villes la plus surveillée de l’Hexagone. Le maire républicain, Christian Estrosi, a fait de la sécurité un de ses chevaux de bataille : “chacun d’entre nous doit devenir un citoyen engagé, acteur de sa propre sécurité, et donc de la sécurité collective.” Dans cette optique, qu’en janvier 2018, il avait accepté que Nice soit le cobaye français d’une nouvelle technologie : l’application “Reporty.” Cet outil permet à ses utilisateurs de “signaler à la police municipale une incivilité grave, ou une situation critique dont ils seraient témoins ou victimes, en transmettant une vidéo en direct, au centre de supervision urbain.” Les autorités peuvent ensuite, via un système de géolocalisation, cibler les caméras sur la zone et envoyer une patrouille. Pendant deux mois, 2000 citoyens devaient donc tester l’application mobile dans les rues niçoises.
L’arrivée de ce nouvel outil n’a pas fait l’unanimité. L’opposition municipale a notamment parlé de “délation généralisée” et certaines associations ont dénoncé l’application qui, selon eux, contiendrait des mouchards.
Le 15 mars 2018, la CNIL (Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés) a examiné l’application mobile. Elle a estimé que “l’équilibre entre la lutte contre le terrorisme, et plus largement la prévention des troubles à l’ordre public, et l’atteinte à la vie privée n’était pas respecté.” Elle a avancé deux raisons. “D’une part, compte tenu de la fragilité de la base légale du dispositif en l’état du droit. D’autre part, parce que, par ses caractéristiques propres, le dispositif envisagé n’apparaissait pas suffisamment proportionné.” La ville a donc dû mettre un terme à ce projet. Christian Estrosi, quant à lui, a dénoncé “une position dogmatique.”
Avec 1 950 caméras de vidéosurveillance, soit 27 appareils au kilomètre carré, la première police municipale de France en matière d’effectifs, Nice est une des villes la plus surveillée de l’Hexagone. Le maire républicain, Christian Estrosi, a fait de la sécurité un de ses chevaux de bataille : “chacun d’entre nous doit devenir un citoyen engagé, acteur de sa propre sécurité, et donc de la sécurité collective.” Dans cette optique, qu’en janvier 2018, il avait accepté que Nice soit le cobaye français d’une nouvelle technologie : l’application “Reporty.” Cet outil permet à ses utilisateurs de “signaler à la police municipale une incivilité grave, ou une situation critique dont ils seraient témoins ou victimes, en transmettant une vidéo en direct, au centre de supervision urbain.” Les autorités peuvent ensuite, via un système de géolocalisation, cibler les caméras sur la zone et envoyer une patrouille. Pendant deux mois, 2000 citoyens devaient donc tester l’application mobile dans les rues niçoises.
L’arrivée de ce nouvel outil n’a pas fait l’unanimité. L’opposition municipale a notamment parlé de “délation généralisée” et certaines associations ont dénoncé l’application qui, selon eux, contiendrait des mouchards.
Le 15 mars 2018, la CNIL (Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés) a examiné l’application mobile. Elle a estimé que “l’équilibre entre la lutte contre le terrorisme, et plus largement la prévention des troubles à l’ordre public, et l’atteinte à la vie privée n’était pas respecté.” Elle a avancé deux raisons. “D’une part, compte tenu de la fragilité de la base légale du dispositif en l’état du droit. D’autre part, parce que, par ses caractéristiques propres, le dispositif envisagé n’apparaissait pas suffisamment proportionné.” La ville a donc dû mettre un terme à ce projet. Christian Estrosi, quant à lui, a dénoncé “une position dogmatique.”
Avec 1 950 caméras de vidéosurveillance, soit 27 appareils au kilomètre carré, la première police municipale de France en matière d’effectifs, Nice est une des villes la plus surveillée de l’Hexagone. Le maire républicain, Christian Estrosi, a fait de la sécurité un de ses chevaux de bataille : “chacun d’entre nous doit devenir un citoyen engagé, acteur de sa propre sécurité, et donc de la sécurité collective.” Dans cette optique, qu’en janvier 2018, il avait accepté que Nice soit le cobaye français d’une nouvelle technologie : l’application “Reporty.” Cet outil permet à ses utilisateurs de “signaler à la police municipale une incivilité grave, ou une situation critique dont ils seraient témoins ou victimes, en transmettant une vidéo en direct, au centre de supervision urbain.” Les autorités peuvent ensuite, via un système de géolocalisation, cibler les caméras sur la zone et envoyer une patrouille. Pendant deux mois, 2000 citoyens devaient donc tester l’application mobile dans les rues niçoises.
L’arrivée de ce nouvel outil n’a pas fait l’unanimité. L’opposition municipale a notamment parlé de “délation généralisée” et certaines associations ont dénoncé l’application qui, selon eux, contiendrait des mouchards.
Le 15 mars 2018, la CNIL (Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés) a examiné l’application mobile. Elle a estimé que “l’équilibre entre la lutte contre le terrorisme, et plus largement la prévention des troubles à l’ordre public, et l’atteinte à la vie privée n’était pas respecté.” Elle a avancé deux raisons. “D’une part, compte tenu de la fragilité de la base légale du dispositif en l’état du droit. D’autre part, parce que, par ses caractéristiques propres, le dispositif envisagé n’apparaissait pas suffisamment proportionné.” La ville a donc dû mettre un terme à ce projet. Christian Estrosi, quant à lui, a dénoncé “une position dogmatique.”