Vivre dans une No-Go-Zone | Après Société Post-Attentats
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La vie dans une

“NO-GO-ZONE”

Associée aux attentats et aux terroristes, Molenbeek-Saint-Jean s’est retrouvée au centre des critiques en 2015. Adil, un jeune du quartier revient sur ces mois de grandes tensions et les conséquences sur la vie de la commune. Le secteur associatif a aussi dû s’adapter. Confrontés à la radicalisation et aux extrémismes violents, quel est son rôle dans ce contexte délicat ?

La chaîne d’information américaine Fox news et sa chroniqueuse Katie Hopkins en avaient fait la « capitale européenne du djihad », Eric Zemmour avait estimé, quant à lui, que la France « devrait bombarder Molenbeek plutôt que Raqqa. » Pendant plusieurs mois, Molenbeek-Saint-Jean, commune du nord-ouest de Bruxelles, a centralisé toute l’attention médiatique, politique voire policière. Plus de 3 ans après les premiers liens établis entre la commune et des cellules terroristes, Adil, un jeune ayant grandi et vécu toute sa vie dans le quartier, a accepté de revenir sur cette période et la manière dont ces événements ont marqué la commune « de l’intérieur. » Entre méfiance, contrôles de police intempestifs, choc, incompréhension et importance du secteur associatif, Adil témoigne d’un vécu partagé, selon lui, par une majorité de Molenbeekois. Armé de son seul micro, il a eu carte blanche. Il s’est chargé de toutes les prises de son et nous avons réalisé le montage, offrant comme résultat ce podcast participatif.

Et le secteur jeunesse ?

Elément essentiel dans le développement personnel d’Adil (voir ci-dessus), le secteur jeunesse a également été marqué par les attentats. Après les attaques sanglantes de Paris, les professionnels du secteur ont publié une carte blanche relayée par la RTBF. Ils invitaient à construire une société  démocratique et solidaire. Au lendemain des attentats de Bruxelles, Isabelle Simonis, ministre de la jeunesse en Fédération Wallonie-Bruxelles, a annoncé 11 mesures préventives pour lutter contre la radicalisation en s’appuyant, notamment, sur le secteur jeunesse. Depuis 2015, des formations sont organisées pour les professionnels pour faire face à ce nouvel enjeu. Nous les avons accompagnés lors d’une d’entre elles. Quel rôle le secteur jeunesse a-t-il dans la lutte contre le terrorisme ? Les professionnels sont-ils devenus des policiers de première ligne ? Réponse dans cette vidéo.

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Associée aux attentats et aux terroristes, Molenbeek-Saint-Jean s’est retrouvée au centre des critiques en 2015. Adil, un jeune du quartier revient sur ces mois de grandes tensions et les conséquences sur la vie de la commune. Le secteur associatif a aussi dû s’adapter. Confrontés à la radicalisation et aux extrémismes violents, quel est son rôle dans ce contexte délicat ?

La chaîne d’information américaine Fox news et sa chroniqueuse Katie Hopkins en avaient fait la « capitale européenne du djihad », Eric Zemmour avait estimé, quant à lui, que la France « devrait bombarder Molenbeek plutôt que Raqqa. » Pendant plusieurs mois, Molenbeek-Saint-Jean, commune du nord-ouest de Bruxelles, a centralisé toute l’attention médiatique, politique voire policière. Plus de 3 ans après les premiers liens établis entre la commune et des cellules terroristes, Adil, un jeune ayant grandi et vécu toute sa vie dans le quartier, a accepté de revenir sur cette période et la manière dont ces événements ont marqué la commune « de l’intérieur. » Entre méfiance, contrôles de police intempestifs, choc, incompréhension et importance du secteur associatif, Adil témoigne d’un vécu partagé, selon lui, par une majorité de Molenbeekois. Armé de son seul micro, il a eu carte blanche. Il s’est chargé de toutes les prises de son et nous avons réalisé le montage, offrant comme résultat ce podcast participatif.

Et le secteur jeunesse ?

Elément essentiel dans le développement personnel d’Adil (voir ci-dessus), le secteur jeunesse a également été marqué par les attentats. Après les attaques sanglantes de Paris, les professionnels du secteur ont publié une carte blanche relayée par la RTBF. Ils invitaient à construire une société  démocratique et solidaire. Au lendemain des attentats de Bruxelles, Isabelle Simonis, ministre de la jeunesse en Fédération Wallonie-Bruxelles, a annoncé 11 mesures préventives pour lutter contre la radicalisation en s’appuyant, notamment, sur le secteur jeunesse. Depuis 2015, des formations sont organisées pour les professionnels pour faire face à ce nouvel enjeu. Nous les avons accompagnés lors d’une d’entre elles. Quel rôle le secteur jeunesse a-t-il dans la lutte contre le terrorisme ? Les professionnels sont-ils devenus des policiers de première ligne ? Réponse dans cette vidéo.

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Associée aux attentats et aux terroristes, Molenbeek-Saint-Jean s’est retrouvée au centre des critiques en 2015. Adil, un jeune du quartier revient sur ces mois de grandes tensions et les conséquences sur la vie de la commune. Le secteur associatif a aussi dû s’adapter. Confrontés à la radicalisation et aux extrémismes violents, quel est son rôle dans ce contexte délicat ?

La chaîne d’information américaine Fox news et sa chroniqueuse Katie Hopkins en avaient fait la « capitale européenne du djihad », Eric Zemmour avait estimé, quant à lui, que la France « devrait bombarder Molenbeek plutôt que Raqqa. » Pendant plusieurs mois, Molenbeek-Saint-Jean, commune du nord-ouest de Bruxelles, a centralisé toute l’attention médiatique, politique voire policière. Plus de 3 ans après les premiers liens établis entre la commune et des cellules terroristes, Adil, un jeune ayant grandi et vécu toute sa vie dans le quartier, a accepté de revenir sur cette période et la manière dont ces événements ont marqué la commune « de l’intérieur. » Entre méfiance, contrôles de police intempestifs, choc, incompréhension et importance du secteur associatif, Adil témoigne d’un vécu partagé, selon lui, par une majorité de Molenbeekois. Armé de son seul micro, il a eu carte blanche. Il s’est chargé de toutes les prises de son et nous avons réalisé le montage, offrant comme résultat ce podcast participatif.

Et le secteur jeunesse ?

Elément essentiel dans le développement personnel d’Adil (voir ci-dessus), le secteur jeunesse a également été marqué par les attentats. Après les attaques sanglantes de Paris, les professionnels du secteur ont publié une carte blanche relayée par la RTBF. Ils invitaient à construire une société  démocratique et solidaire. Au lendemain des attentats de Bruxelles, Isabelle Simonis, ministre de la jeunesse en Fédération Wallonie-Bruxelles, a annoncé 11 mesures préventives pour lutter contre la radicalisation en s’appuyant, notamment, sur le secteur jeunesse. Depuis 2015, des formations sont organisées pour les professionnels pour faire face à ce nouvel enjeu. Nous les avons accompagnés lors d’une d’entre elles. Quel rôle le secteur jeunesse a-t-il dans la lutte contre le terrorisme ? Les professionnels sont-ils devenus des policiers de première ligne ? Réponse dans cette vidéo.

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Associée aux attentats et aux terroristes, Molenbeek-Saint-Jean s’est retrouvée au centre des critiques en 2015. Adil, un jeune du quartier revient sur ces mois de grandes tensions et les conséquences sur la vie de la commune. Le secteur associatif a aussi dû s’adapter. Confrontés à la radicalisation et aux extrémismes violents, quel est son rôle dans ce contexte délicat ?

La chaîne d’information américaine Fox news et sa chroniqueuse Katie Hopkins en avaient fait la « capitale européenne du djihad », Eric Zemmour avait estimé, quant à lui, que la France « devrait bombarder Molenbeek plutôt que Raqqa. » Pendant plusieurs mois, Molenbeek-Saint-Jean, commune du nord-ouest de Bruxelles, a centralisé toute l’attention médiatique, politique voire policière. Plus de 3 ans après les premiers liens établis entre la commune et des cellules terroristes, Adil, un jeune ayant grandi et vécu toute sa vie dans le quartier, a accepté de revenir sur cette période et la manière dont ces événements ont marqué la commune « de l’intérieur. » Entre méfiance, contrôles de police intempestifs, choc, incompréhension et importance du secteur associatif, Adil témoigne d’un vécu partagé, selon lui, par une majorité de Molenbeekois. Armé de son seul micro, il a eu carte blanche. Il s’est chargé de toutes les prises de son et nous avons réalisé le montage, offrant comme résultat ce podcast participatif.

Et le secteur jeunesse ?

Elément essentiel dans le développement personnel d’Adil (voir ci-dessus), le secteur jeunesse a également été marqué par les attentats. Après les attaques sanglantes de Paris, les professionnels du secteur ont publié une carte blanche relayée par la RTBF. Ils invitaient à construire une société  démocratique et solidaire. Au lendemain des attentats de Bruxelles, Isabelle Simonis, ministre de la jeunesse en Fédération Wallonie-Bruxelles, a annoncé 11 mesures préventives pour lutter contre la radicalisation en s’appuyant, notamment, sur le secteur jeunesse. Depuis 2015, des formations sont organisées pour les professionnels pour faire face à ce nouvel enjeu. Nous les avons accompagnés lors d’une d’entre elles. Quel rôle le secteur jeunesse a-t-il dans la lutte contre le terrorisme ? Les professionnels sont-ils devenus des policiers de première ligne ? Réponse dans cette vidéo.